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Un voyage initiatique dans la ville de Barcelone après la guerre civile et le second conflit mondial, un livre à la fois historique et fantastique, passionnant et envoutant. « Si vous pensiez que le véritable roman gothique est mort avec le XIXe siècle, ce livre va vous faire changer d’avis. » nous dit Stephen King à propos de ce roman paru en 2001.
Grand succès commercial, avec plus de 12 millions d’exemplaires vendus, ce récit relate l’histoire d’un petit garçon, Daniel Sempere, que son père emmène dans un lieu mystérieux du barrio gotico, le Cimetière des Livres Oubliés. Là, suivant un rituel familial, il doit « adopter » un ouvrage. Il choisit « L’ombre du vent » écrit par l’étrange et mystérieux Julian Carax. Ce livre va bouleverser sa vie. Fasciné par le roman autant que par son auteur, Daniel enquête sur l’étrange Julian Carax et découvre des similitudes entre sa propre vie et celle de cet écrivain mystérieux…
Publié en 1988, « Samarcande » est un roman d’Amin Maalouf qui nous entraîne notamment sur la route de la soie. Dans ce passionnant récit, l’auteur retrace l’aventure d’un manuscrit du XIe siècle retrouvé des siècles plus tard après avoir été perdu lors des invasions mongoles.
Découpé en deux parties, le roman retrace d’abord le périple d’Omar Khayyam, poète et savant persan, à travers l’Asie centrale et le Moyen-Orient et ses rencontres avec d’éminents personnages de son époque. La seconde partie nous conte la quête du manuscrit de Samarcande, recueil de poèmes d’Omar Khayyam, par un jeune américain au début du XXe siècle.
L’auteur nous fait ainsi suivre avec habileté, à huit siècles d’intervalle, l’évolution d’un même Orient, et nous confie avec finesse ses convictions.
Il s’agit de l’un des plus grands romans de l’écrivain franco-libanais Amin Maalouf, dont le talent de conteur est exceptionnel.
Je suis un chat « suffit amplement à démentir l'opinion si répandue selon laquelle les Japonais manquent d'humour » écrit dans sa préface le traducteur de l’ouvrage. Ce roman est en effet une satire désopilante, une critique acerbe et ironique de l’ère Meiji.
On y suit dans la ville d’Edo les aventures du petit chat d’un jeune professeur. « Je suis un chat. Je n'ai pas encore de nom. Je n'ai aucune idée du lieu où je suis né » confit le félin au début du roman. Fier, adoptant le ton grandiloquent d’un aristocrate, le chat se sent supérieur aux humains qu’il trouve étranges, inconstants. Plein d’esprit, doué de vastes connaissances, d’une culture étonnante, le chat observe, narquois, une société japonaise en mutation…
Voici un objet littéraire non identifié, une réflexion métaphorique sur la Grèce contemporaine, figée selon l’auteur dans la glorification d’un passé qui la paralyse et l’empêche d’avancer.
Le récit tourne autour du geste iconoclaste d’un homme qui a fait sauter le Parthénon, pour libérer son pays de « ce que d’aucuns considéraient comme la perfection indépassable ». Dans les années 1940, le cercle surréaliste « Les Annonciateurs du chaos » avait déclaré « il faut faire sauter l’Acropole ! ». Et voilà que de nos jours, au XXIe siècle, un hurluberlu a répondu à leur appel. Mais que deviendra Athènes sans la Parthénon, son emblème ? Les habitants de la cité sont sidérés, consternés.
Pourquoi un tel fanatisme ? Comment réagir à cet acte inimaginable ? L’auteur enquête et nous livre le témoignage d’un gardien, le monologue de l’auteur des faits, les réactions des habitants…L’autopsie d’un pays en crise.
Mamie Poldi a 60 ans et cherche un endroit au soleil pour terminer sa vie. Ce sera la Sicile, terre natale de son défunt mari. Elle retrouve là-bas la joie de vivre, au contact d’une belle famille enjouée, et dans une région où vins et nourriture sont savoureux. Mais un jour son jeune jardinier est assassiné…Et la voilà qui mène l’enquête, croisant des membres de la Mafia, d’excentriques descendants d’aristocrates français et d’autres personnages truculents…Elle se heurte aussi au jeune et fringant commissaire Montana qui n’aime pas la voir fourrer son nez partout et se mêler de son enquête. Mais Mamie Poldi ne se laisse jamais intimider, par personne, elle ne renoncera pas ! Un personnage drôle, pittoresque et attachant, pour un récit réjouissant et cocasse, et une intrigue pleine de suspens…
Il s’agit de la première enquête de Mamie Poldi, sorte de Miss Marple italienne. Vous la retrouverez ainsi dans « Mamie et les fruits du saigneur », enquêtant sur un meurtre mystérieux dans un vignoble sicilien, la victime étant une voyante-astrologue qui offrait ses services aux hommes politiques et sportifs locaux…
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