DÉPARTS GARANTIS, PAGE 10

Des montagnes sillonnées par de profondes vallées glaciaires où se coulent des lacs étincelants composent les paysages du Lake District, le plus grand parc national anglais, situé au nord-ouest du pays. Ce décor pittoresque inspira de nombreux artistes, Turner, Ruskin, Coleridge et surtout William Wordsworth, le poète romantique. Nous évoquerons ces grands noms des arts et des lettres britanniques lors des visites de lieux de mémoire, tout en savourant une campagne souriante et fleurie, habillée de charmants cottages, de presbytères bienveillants, de manoirs et jardins. Autre point fort du voyage, la découverte des fortifications érigées par les Romains pour repousser les Pictes et les Scots, le fameux « mur d’Hadrien ».

Une ambitieuse "périégèse" en Grèce continentale, des murs cyclopéens de l’homérique Mycènes jusqu’à l’imposant Parthénon de l’Acropole d’Athènes, des sites moins connus, certes, mais tout aussi passionnants, comme Némée, Argos, Lerne, le temple de Bassae, l’Amphiaraon, le Céramique, ou encore la superbe île d’Egine, aux grands sanctuaires panhelléniques, Epidaure, Olympie, Delphes et l’acropole d’Athènes. Ce voyage au cœur du Péloponnèse, de l’Attique et de la Phocide se propose de parcourir les hauts lieux de la culture grecque antique, de découvrir ses aspects multiples et souvent contradictoires, de se persuader également qu’au-delà de leur extrême diversité, les plus importantes des conquêtes de la civilisation grecque tendent toutes au même but : agrandir le pouvoir de l’homme sur la nature et augmenter sa propre humanité. Ainsi sera-t-on fondé de conclure que la civilisation hellénique, à laquelle doit tant la civilisation occidentale, est un humanisme, car c’est bien l’homme et la vie humaine que le peuple grec s’est toujours efforcé de rendre meilleurs.

Le Nord, c'est d'abord une identité. Française, régionale, fortement influencée des Flandres si proches, c'est une région hautement industrielle, industrieuse, où le temps de la reconversion est aujourd'hui fermement implanté. Une multitude de musées et centres d'art ont fleuri et exposent un riche patrimoine de peintures et sculptures, dont nous nous délecterons au gré de nos étapes. Les anciennes places et beffrois ornent les centres-villes de ces cités anciennes, où les ruelles pavées cernées de hautes maisons crénelées accompagnent nos pas.

Le Louvre-Lens, arche moderne de verre et d'acier, est devenu un incontournable avec sa Galerie du Temps, exposant quelques trois cents œuvres offrant un panorama de l’art entre 3500 ans avant J.-C. et le XIXe siècle. Le palais des beaux-arts de Lille est quant à lui particulièrement riche de ses collections de peintures françaises et européennes, et offre un regard sur l'art des Flandres. Enfin, à Roubaix, vous découvrirez la Piscine, un musée niché dans une piscine superbement décorée dans le style Art déco.

Pour vos départs en 2026 : vous visiterez le musée LaM de Villeneuve d'Ascq, musée d'art brut, moderne et contemporain à l'occasion de sa réouverture après plusieurs années de travaux.

Votre conférencier Serge Némirovski vous adresse ces quelques mots :
« Le Nord de la France est une région fascinante, si l'on oublie les clichés qu'elle peut véhiculer.
Venez découvrir en ma compagnie l’un des plus beaux musées de France à Lille ou l’extraordinaire villa moderniste Cavrois de Mallet-Stevens, et ressentir la chaleur et l’hospitalité des gens du nord, sans oublier le patrimoine minier, inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco.
Bien à vous. Serge. »

Et si l’Irlande était le véritable trésor caché de l’art du jardin ? Baignée de longues journées lumineuses en été, caressée par la douceur du Gulf Stream et enveloppée d’un microclimat côtier, l’Irlande bénéficie d’une terre d’une fertilité exceptionnelle, abreuvée par une pluie bienfaisante tout au long de l’année. Ce mariage unique de lumière, d'eau et de sol fait de l'île d'émeraude un paradis des jardiniers. Au fil de ce voyage, vous explorerez le comté de Wicklow et ses environs, véritable écrin de jardins enchanteurs, mythiques et intimes. De l’audace créative des jardins privés de June et Jimi Blake aux paysages préservés du XVIIIe siècle à Russborough et Kilfane, en passant par l’élégance incontournable de Powerscourt et la luxuriance de Mount Usher et de Mount Congreve, chaque étape est une invitation à la rêverie, où montagnes, lacs et vallées dialoguent avec l’art du jardin. Ce périple sera également l’occasion de plonger dans l’histoire spirituelle de l’île avec la visite de Glendalough, témoin de l’âge d’or de la vie monastique en Irlande, et d’admirer la précieuse collection d’art privé de Russborough. Enfin, nul séjour en Irlande ne saurait être complet sans un moment de convivialité dans un pub traditionnel, rythmé par la chaleur de la musique irlandaise et l’accueil légendaire de ses habitants.

La Bourgogne est riche d’une histoire religieuse largement marquée par les fondations monastiques et le culte des reliques. Autun est l’un des premiers sièges épiscopaux de la Gaule romaine, et le culte de saint Lazare, ami du Christ, y a entraîné la construction d’une cathédrale romane aux sculptures mondialement réputées. Saulieu, modeste cité où l’on vénère les reliques de saint Andoche, l’un des premiers évangélisateurs de la Bourgogne, se voit pourvue d’une basilique aux chapiteaux également renommés. Vézelay et les reliques de sainte Marie-Madeleine attirent les foules depuis l’origine. Bénédictins et Cisterciens rivalisent d’audace et d’inventivité dans les constructions, pour servir d’écrins à ces précieuses reliques qui motivèrent d’importants pèlerinages durant tout le Moyen Age. Vous mettrez vos pas dans les leurs pour découvrir des sites religieux du cœur de l’Auxois-Morvan, région naturelle préservée, qui sera le cadre de votre parcours.
En option, une parenthèse gastronomique : un dîner "dégustation" au restaurant de Bernard Loiseau à Saulieu : "La Côte d'Or".

Cette gamme propose d'associer à la découverte culturelle une dimension spirituelle, portée par une réflexion sur les liens entre les spiritualités et entre religions, art, histoire et archéologie. Comment les religions ont-elles façonné les cultures, tant au niveau de l'art que de la pensée et comment l'histoire les a fait évoluer et interagir entre elles ? Autant de questions qui seront au cœur de ces voyages.

Ce circuit sera accompagné par Jean-Christophe Garandeau. Bourguignon de naissance et juriste de formation, Jean-Christophe Garandeau a également obtenu un baccalauréat canonique en théologie (université catholique de Lyon). Il est actuellement laïc-salarié du diocèse de Dijon. Musicien amateur, il dirige le chœur grégorien "Les Ambrosiniens" qui se produit régulièrement dans des lieux chargés d'histoire. Très attaché à la Bourgogne, il a à cœur d'en faire découvrir le patrimoine architectural et spirituel.

Au cœur de la Méditerranée orientale, dans les splendides palais du légendaire royaume de Minos et de Pasiphaé revivez l'une des civilisations les plus brillantes qu’ait connue l’Europe. Il y a quatre mille ans, sur l’île de Crète, a rayonné la fabuleuse culture minoenne, qui durant six siècles a éclairé la Méditerranée. Prospérité, harmonie de l’organisation sociale, amour de la vie, passion pour la beauté, telles sont les caractéristiques les plus évidentes de ce monde éclatant. Les Minoens ont élaboré une société théocratique et hiérarchisée, dans laquelle le féminin jouait le plus grand rôle, laissant à une sensibilité religieuse et à un amour de la nature, aux intuitions artistiques délicates, la possibilité de construire le premier humanisme de l’histoire. Plus préoccupée de la vie que de la mort, cette civilisation d’artistes fit preuve d’une délicatesse, d’une élégance, d’un raffinement et d’une poésie exceptionnels dans le monde antique. C’est elle qui fut le cadre du premier éveil, du premier sourire, des premiers gestes de la toute jeune Europe, et elle demeura dans l’imaginaire occidental, comme la fleur et le souvenir de la première civilisation vraiment humaine du monde méditerranéen.

Voisines de la Toscane, l'Ombrie et les Marches n'ont guère à lui envier sur le plan de la nature ou des arts. Avec ses doux paysages de collines, l'Ombrie a vu naître l'une des écoles picturales les plus admirables de l'histoire de l'art, tandis que les Marches, aux rudes paysages semés de villes fortifiées, telle l'altière Pesaro, s'enorgueillissent d'être le berceau de Raphaël. Les XIIIe et XVe siècles marquent l'âge d'or pictural de ces contrées ; la fresque y atteint alors une incomparable perfection : fresques de la basilique Saint-François d'Assise, fresques de Fra Lippi à Spolète, du Pérugin et de Raphaël à Pérouse... Les peintres ombriens côtoient Fra Angelico et Piero della Francesca à la galerie nationale d'Ombrie, Lotto est à l'honneur à Loreto et à Recanati, Raphaël à Urbino... : natifs ou non de ces régions, ces artistes ont tous, à un moment ou un autre, expérimenté l'incomparable douceur de la manière ombrienne.

Vers 1530, Venise succède à Rome et Florence au titre de principal foyer artistique et culturel de l’Italie. Le siècle du Titien sera également celui de Palladio. Cet architecte de génie donne à la cité des Doges deux remarquables églises : San Giorgio Maggiore et Il Redentore. Surtout, il crée un ensemble urbain exceptionnel à Vicence, sa ville d’élection. Une civilisation des villas naît alors en Vénétie.

S’il est un patrimoine que Bruxelles peut se vanter de posséder, parmi les plus beaux exemples en Europe, c’est bien celui de l’architecture Art nouveau, empreint en particulier du talent et de l’innovation de l’architecte belge Victor Horta. Pas moins de quatre réalisations de ce dernier sont désormais inscrites au patrimoine mondial de l’UNESCO, et vous les découvrirez au cours de ce séjour qui vous conduira également à la rencontre des autres artistes et mécènes qui ont contribué à l’épanouissement de l'Art nouveau. Nous aurons le loisir de découvrir deux de ses réalisations majeures : l'hôtel Solvay (pour les départs de mai et octobre uniquement) qui marie architecture et décoration intérieure en une harmonie de formes, couleurs et matériaux ; l'hôtel Van Eetvelde identifiable par sa verrière qui baigne le bâtiment de lumière nimbée.

L’Emilie-Romagne renferme d’inestimables trésors de la fin de l’Antiquité et du Moyen Age. A Ravenne, « le plus grand ensemble au monde de mosaïques, chatoyantes et étincelantes, constitue une tapisserie somptueuse et inaltérable, tendue pour l’éternité. » (L. Bréhier). Ravenne offre l’essentiel de ce que l'on peut encore connaître de la mosaïque à l’époque protobyzantine. Résidence impériale, capitale du royaume ostrogoth, reconquise ensuite par les armées de Justinien, Ravenne fut une cité majeure aux Ve et VIe siècles. Un style artistique nouveau y naquit, influencé par l’art du Bas-Empire mais annonçant la facture byzantine classique. Comme toutes les époques charnières, l’Antiquité tardive est une période passionnante dont témoigne avec force le patrimoine de Ravenne. Nous découvrirons également les œuvres médiévales des deux plus grands sculpteurs de l’art roman que sont Wiligelmo et Benedetto Antelami avec notamment le dôme de Modène et le baptistère de Parme, merveilleux témoins de cette époque. Bologne, la médiévale, et Plaisance, l’ancienne capitale des Farnèse, constitueront des étapes séduisantes et raffinées.

Voyage en partenariat avec les Éditions Faton. À découvrir notamment L'Objet d'Art n° 439 - Corrège, rétrospective à Parme.

La Sardaigne n’est pas seulement un paradis pour le tourisme balnéaire. Au-delà des franges d’or de la côte où un seul soupir du vent suffit à changer les couleurs de l’eau, des rochers et du sable, il existe, au cœur de l’arrière-pays, une Sardaigne rude et authentique, où les chemins de l’eau laissent la place aux sentiers de pierre. C’est ici l’univers sauvage des "nuraghi" et des mystérieux hypogées creusés dans les collines, des escales phéniciennes ou encore, des empreintes romaines. C’est aussi la beauté brute des églises romanes, reines des cités ou sentinelles des campagnes. Nous vous invitons à parcourir un patrimoine peu connu et tout à découvrir.

Au sud de la chaîne du Caucase et à l'est de la mer Noire, là où les Grecs situaient les mythes de Prométhée, de Médée et de la Toison d'or, la Géorgie expose, dans une étonnante mosaïque de paysages, un immense patrimoine artistique. Des neiges éternelles du Grand Caucase aux végétations subtropicales de la mer Noire, des zones désertiques aux vallées verdoyantes, la Géorgie a développé une culture originale marquée autant par Byzance que par la vieille culture caucasienne. Des monastères creusés à flanc de roche aux fresques des églises médiévales, c’est à la découverte d’un pays à forte identité, regardant à la fois vers l’Orient et l’Occident, et résolument tourné vers le futur que nous vous invitons à découvrir.

On ignore souvent que la région de Castille-et-León concentre une grande partie du patrimoine espagnol. Elle compte en outre, avec la Bourgogne-Franche-Comté, le plus de biens culturels distingués et protégés par l'Unesco. La « Reconquête » de la péninsule ibérique par les royaumes chrétiens a marqué l’histoire de ce territoire et explique sa richesse artistique. De nombreux lieux de culte furent alors construits, en particulier dans les provinces d'Ávila, de Salamanque, de Ségovie ou de Burgos. Cette floraison de l'architecture s'accompagna d'une abondante décoration sculptée. Un élan artistique s'empara de toute la zone : l'art roman espagnol s'exprima, ainsi, à travers une multitude d'édifices religieux et affirma son caractère original. A Salamanque vous découvrirez aussi la plus ancienne université d’Espagne, à Burgos une somptueuse cathédrale gothique, tandis que Valladolid, théâtre de la célèbre « controverse », connut une période faste sous les Rois catholiques. Une région exceptionnelle, riche de nombreux trésors...

De Cervantès à Isabelle la Catholique, vous découvrirez une région fertile par ses ouvrages et ses mythes, où d'illustres peuples enrichirent chacun ce pays par l'empreinte qu'ils laissèrent (romains, chrétiens, musulmans...).

Pour les départs de mai et septembre 2026 : possibilité de combiner votre voyage avec le "Madrid-Tolède" du 19-23 mai 2026 et 14-18 septembre 2026.

Au sud de Rome commence une autre Italie, celle de la Campanie où s'élevèrent de fastueuses cités grecques et romaines. Différentes excursions vous conduiront dans les délicieux décors antiques de Pompéi, la "Campania Felix" des anciens vous offrant les scènes de vie que le Vésuve pétrifia il y a deux mille ans. Capri vous émerveillera par sa beauté et sa douceur de vivre. A Naples, en vous faufilant dans la via dei Tribunali, vous découvrirez un riche passé tant médiéval que baroque, tout en assistant aux scènes quotidiennes de la vie du Sud, marquées du sceau de l'opéra, et également de la canzonetta, de l'exubérance et d'une incroyable vitalité.

Sur ces terres aux paysages doux et vallonnés, baignés de lumières, semés de vignes et d’oliviers, le Ciel n’est jamais très loin. La région semble vouée à la beauté, ses villes d’art furent ornées par les plus grands artistes, des primitifs toscans Giotto, Martini et Lorenzetti, aux maîtres de la Renaissance Piero della Francesca, Fra Angelico, Pérugin, Pinturichio et Signorelli…On y chemine sur les traces de Saint-François d’Assise, jusqu’aux petits ermitages où il prêchait aux oiseaux. L’Ombrie est l’âme de François. Dans ce terroir généreux, on savoure les vins et les spécialités locales, tandis que les vestiges de la première civilisation italique, les Etrusques, ne manquent pas : vous verrez notamment le célèbre « hypogée des Volumni ». Du sud-est toscan à l’Ombrie, prolongement naturel de la Toscane, venez découvrir une terre d’art et de spiritualité.



Niveau de randonnée modéré : les randonnées sur chemin, piste ou sentier n'excèdent généralement pas 3 heures de marche et 300 mètres de dénivelé positif environ. Certaines journées peuvent s'effectuer sous forme de promenade urbaine. Une bonne condition physique et une pratique régulière de la randonnée sont requises.

Frontière pour les Romains, axe de passage pour les Croisés ou les Turcs, lien entre Orient et Occident, le Danube n'a cessé d'être un enjeu et un creuset de civilisations. L’itinéraire de cette croisière vous conduira au fil du fleuve vers les trois capitales Danubienne, Vienne, Budapest, Bratislava. De passionnantes visites culturelles scanderont les escales : les châteaux de Schönbrunn et de Gödöllö sur les traces de l'impératrice Sissi, Salzbourg capitale artistique et musicale sur laquelle plane encore l'ombre de Mozart et des puissants archevêques. Vous découvrirez aussi Melk, célèbre pour son abbaye bénédictine qui, bâtie dans la première moitié du XVIIIe siècle, surplombe le Danube et surprend par son décor baroque d'une rare opulence.

Principaux sites : Vienne, Gödöllö, Budapest, Bratislava, Dürnstein, Melk, Salzbourg.

Une formule exclusive comprenant :

• la présence d'un conférencier Intermèdes de Paris à Paris ;
• un programme de conférences privatives, sur des thèmes centraux ;
• toutes les excursions incluses en petit groupe de 20 personnes ;

« Tourterelle posée sur l'épaule de l'Afrique », Tanger incarne la fascination, le charme et la nostalgie qui imprègnent, généralement, les liens qu'entretiennent l'Orient et l'Occident. Peintres et écrivains ne s'y sont pas trompés, qui ont vu dans cette « lumière du bout de l'Afrique » la promesse d'un bonheur retrouvé auquel, dans le souvenir ébloui de Delacroix, ou bien dans le sillage coloré de Matisse, vous goûterez à votre tour, dans le cadre raffiné de l'hôtel El Minzah 5.

Rossini, Verdi, Toscanini, Abbado, Muti... Autant d'étoiles qui constellent l'histoire de la Scala, ce théâtre mythique où rivalisèrent les divas Maria Callas et Renata Tebaldi, cette salle flamboyante, rouge et or, avec ses fameuses loges dont les occupants étaient autrefois également les propriétaires. Pendant une visite exclusive de la Casa Museo Giulini vous découvrirez une collection d'instruments de musique anciens dont la richesse et les spécificités vous seront révélées au cours d'un concert privé. La pinacothèque de Brera qui abrite La Cène d'Emmaüs du Caravage et Le Christ mort de Mantegna, autre visites majeures de ce séjour, contribueront à vous dévoiler une ville d'art dynamique qui a su préserver son charme d'antan

Au programme, un opéra de choix :

• en octobre 2025 : Rigoletto de Giuseppe Verdi avec Vittorio Grigolo et Amartuvshin Enkhbat ;
• en janvier 2026 : Le Crépuscule des Dieux de Richard Wagner sous la direction de Alexander Soddy;
• en mai 2026 : Nabucodonosor de Giuseppe Verdi sous la direction de Riccardo Chailly avec Luca Salsi, Francesco Meli et Anna Netrebko ;
• en juin 2026 : Carmen de Georges Bizet sous la direction de Myung-Whun-Chung avec Vittorio Groigolo, Giorgio Manoschvili et Clémentine Margaine ;
• en octobre 2026 : La Traviata de Giuseppe Verdi avec Piero Pretti et Boris Pinkhasovich

Dans les Cotswolds, le charme romantique du jardin anglais s’exprime à travers une collection exceptionnelle de jardins privés. Chaque étape révèlera la personnalité et la passion de propriétaires visionnaires, qui, génération après génération, ont façonné des sanctuaires végétaux à l’image du caractère authentique de la région : la grande tradition classique de Rousham, l’iconique Hidcote, l’audace féminine de Kiftsgate… En effet, si les Cotswolds sont surtout réputés pour la beauté de leurs paysages, c’est le contraste entre vastes horizons et intimité des jardins que vous contemplerez.

Néanmoins, les Cotswolds ne se résument pas à leurs jardins d’exception, et ce voyage sera aussi l'occasion de découvrir des villages classés parmi les plus beaux d’Angleterre avec leurs cottages en pierre dorée couverts de roses anciennes au parfum enivrant, dont la floraison estivale embaume tout le pays. En chemin, la majestueuse cathédrale de Gloucester, joyau d’architecture et d’histoire, vous racontera mille ans d'histoire religieuse. Vous admirerez également la collection d'art de Buscot Park et découvrirez les haut-lieux du mouvement Arts & Crafts qui, plus qu’ailleurs ici, a donné naissance à une nouvelle façon de penser l’art de vivre, l’artisanat et la création.

« Waterloo ! Waterloo ! Waterloo ! morne plaine ! (…) La pâle mort mêlait les sombres bataillons. ». (Victor Hugo « Expiation »). Napoléon Ier, Empereur des Français, abdique le 6 avril 1814, à l'issue d'une longue séries d'événements : la Retraite de la Grande Armée de Russie (1812), les déboires militaires outre-Pyrénées, la défaite de la bataille des Nations (1813) et l’invasion du territoire français par les armées européennes (1814). Pourtant, la bataille de Waterloo se déroule en juin 1815, après le retour de l’Empereur de son exil à l’île d’Elbe, et les « 100 jours », qui le rétablissent au pouvoir. L’Europe coalisée affronte l’armée impériale près de Waterloo, cette plaine qui n'a rien de "morne", mais immortalisée par le poète, comme le cimetière des ambitions impériales et de la grandeur française. Partons ensemble découvrir ce champ de bataille, parmi les premiers sites touristiques militaires (dès 1820). Avec deux siècles de recul, le "perdant" (Napoléon) est-il le "gagnant" au regard de l'histoire et de la notoriété (selon les paroles d'une célèbre chanson des années 70 "Waterloo" du groupe ABBA).