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En un peu plus d’un quart de siècle, Richard Wagner a bâti dans sa fameuse Tétralogie – en fait, un « prologue et trois soirées » selon sa définition- une vision du monde étonnamment moderne qui propose une lecture prophétique et cyclique des âges que traverse l’univers. Comprendre l’inéluctable enchaînement de ces âges dans le Ring, c’est essayer de saisir la logique fatale qui impose au monde et à Wotan un bien funeste destin...
« Pour vivre seul, il faut être une bête ou un dieu, dit Aristote. Reste un troisième cas : il faut être les deux à la fois…philosophe… » Nietzsche.
« L’homme est un animal, dit-on, doué de raison », et pourtant, de tout temps, il n’a pas toujours songé à confier à sa seule raison le soin de déterminer sa conduite ici-bas. On sait en effet que les Grecs, plus peut-être que les autres peuples anciens, allaient consulter leurs oracles, non pas exactement pour savoir l’avenir, comment on le dit souvent, mais pour être éclairés sur la meilleure façon d’en tirer parti.
Un phénomène capital domine tout l’archaïsme en Méditerranée : des Grecs, provenant de terres anciennement occupées, fondent des colonies sur les rives occidentales de la Méditerranée et de la mer Noire. Un tel mouvement n’est certes pas nouveau : ces phénomènes migratoires, d’est en ouest, remontent on le sait au Néolithique...
« Moscou est nécessaire à la Russie » (Nicolas Gogol) Selon certains, les Moscovites n’aimeraient plus leur ville. Trop de changements l’auraient frappée, à l’image des bouleversements que la Russie a connus depuis 1991. Rien de surprenant à cela tant l’histoire de Moscou fusionne avec celle de la Russie. Son histoire s’est construite pas à pas dès le XIIe siècle, puis renforcée au XVe.. Proclamée « Troisième Rome » au XVIe, puis déclassée au XVIIIe au profit de Saint-Pétersbourg, elle est restée pourtant le symbole de la Russie éternelle, avant de redevenir capitale en 1918. Et comme tout organisme vivant, Moscou n’a jamais cessé de se métamorphoser.
On l'appelle la Big Easy car tout y est léger et joyeux, ou encore Crescent City parce qu'elle épouse un méandre du Mississippi auquel elle est intimement liée, mais Nola n'oublie pas qu'elle veut rester dans le vent et qu'elle n'a rien à envier à l'autre L.A. !
Penser un aussi grand océan était chose inconcevable pour les hommes de la fin du Moyen Age. La découverte de l’Amérique leur avait fait comprendre qu’il y avait un océan inconnu ; ils savaient fort bien que la Chine possédait une façade maritime mais de là à imaginer un océan aussi imposant, il y avait un monde.
Encore fascinés par les fabuleuses richesses acquises lors de la conquête du Mexique, les conquérants espagnols, sous la houlette de Francisco Vasquez de Coronado, rentrent au Nouveau-Mexique en 1540. Leurs aspirations à renouveler l’exploit d’ Hernan Cortes vont se heurter à la triste réalité. Ici, point d’or, point d’argent. Les modestes maisons cubiques faites de terre et de torchis et superposées...
Depuis le néolithique, les peuples d'Inde, d'Asie du Sud-est, d'Indonésie et jusqu'à ceux de Chine du Sud, eurent des relations par voie maritime, d'où l'existence d'un substrat culturel ancien et commun à cette zone géographique. Le culte du Naga (serpent cobra), partout présent, en est une bonne illustration.
L’épopée des Afrikaners, c’est l’aventure d’un peuple épris d’indépendance qui a écrit son histoire la bible dans une main, le fusil dans l’autre. Les Afrikaners sont les sud-africains blancs, parlant l’afrikaans, langue qui découle du néerlandais du XVIIe siècle mâtiné d’un peu d’allemand, de portugais et de mots d’origine locale.
Les Zoulous, « peuple du ciel » sont des populations Bantoues arrivées dans le sud du continent vers l’an 500 à partir de l’Afrique de l’Est. Ils font partie du groupe Nguni, qui comprend aussi les Ndebele, les Xhosa et les Swazi.
Déambulant nonchalamment enveloppés d’un drapé rouge, une lance ou un long bâton à la main, les masaï n’en finissent pas de nous fasciner. Originaires d’Ethiopie, les Masaï sont des éleveurs dont les valeurs primordiales sont la bravoure, le courage et le combat.
L’aire géographique dans laquelle nous nous situons pour évoquer les origines du monde et de ses dieux est particulièrement vaste puisqu’elle couvrait à cette époque lointaine aussi bien les terres islandaises et scandinaves que le nord de la Germania antique. Cet espace était alors habité par des peuplades nordiques qui élaborèrent une mythologie riche et complexe.
Région du Proche-Orient considérée comme marginale, la Transjordanie, devenue pour l’essentiel province d’Arabie en 106 de notre ère après l’intégration de la Nabatène à l’Empire romain, n’en a pas moins connu, à la faveur de la paix que Rome puis Constantinople ont su garantir, des périodes de grande prospérité qui se sont prolongées bien après la conquête de la région par les armées de l’Islam au VIIe siècle.
En 421, le poète athénien Aristophane présentait aux Athéniens sa comédie la Paix, peu de temps avant la conclusion de la paix de Nicias, qui marqua une étape capitale dans la Guerre du Péloponnèse (431-404). Dans un moment de communion, il les invitait à rire pour la paix et contre la guerre accompagnée de son cortège d’horreurs. Il les conviait à célébrer la belle déesse et ses deux servantes, à même d’offrir à tous les Grecs l’opulence et des fêtes, le temps des figues fraîches, des myrtes et du vin doux.
Serti comme un beau diamant vert au sommet de la péninsule indochinoise, la Birmanie a vécu au fil des siècles dans le sillage de ses deux puissants voisins, l’Inde et la Chine, sans que l’un ou l’autre ne lui impose sa domination directe. Les hommes et les marchandises, les idées et les croyances ont circulé d’une terre à l’autre, parfois accompagnés de soubresauts mais le plus souvent sans hostilité. Ainsi, bouddhisme et hindouisme arrivèrent en terre birmane dès le premier millénaire et se fondirent aux pratiques plus anciennes, cultes des esprits et des ancêtres.
Bien qu’éloignées et isolées en plein Atlantique Nord, les côtes islandaises ont attiré des pêcheurs français dès la fin du Moyen Age. Baleines mais surtout morues y ont attiré pendant des siècles des hommes que le froid, les intempéries, les risques de naufrage et les terribles conditions de vie à bord des navires n’effrayaient pas. Car, comme l’a rapporté une veuve de marin breton, « ar bara e oa du-haut… le pain était là-bas » (témoignage recueilli par Mgr. Jean Kerlévéo).
Monde frontière entre l’Europe et l’Asie, pays mythique vers lequel partit Jason à la recherche de la Toison d’or, mais terre bien réelle où les découvertes archéologiques ont permis de prendre conscience de l’histoire d’un peuple et d’un pays dont l’apogée médiévale se situe au XIIIe siècle sous le règne de la reine Tamar. Délimitée par le Caucase et la Russie au Nord, l’Arménie le petit Caucase et la Turquie au Sud, la mer Noire à l’Ouest et l’Azerbaïdjan à l’Est, la Géorgie se présente comme une plaine coupée en deux par le massif de Surami. Pendant l’Antiquité le royaume est connu sous le nom d’Ibérie et les Géorgiens ne sont jamais désignés comme tels, ce furent les Occidentaux qui les appelèrent ainsi en l’honneur de Saint Georges leur saint patron ; eux-mêmes parlaient d’eux sous le nom de Kartveli , c’est à dire habitants du royaume de Kartli.
Dominé par le mont Ararat (en photo), le royaume d’Ourartou apparait pour la première fois dans le livre biblique de la Genèse. C’est une région- château d’eau là où naissent les deux grands fleuves de l’Asie du Proche-Orient, le Tigre et l’Euphrate et ce grand plateau ponctué par des vallées fut souvent une terre d’invasions. L’Arménie s’inscrit donc dans une très longue histoire dont la période médiévale forme un moment essentiel sans cependant être le premier documenté.
La doctrine du Tao tient en quelque 5000 caractères légués par le père présumé fondateur de ce « chemin de l’être », Laozi. Une proposition de bonheur palpable, dès lors que l’Homme et l’Univers s’harmonisent, une pensée profondément chinoise sur la « juste » place du genre humain. Le taoïsme apparaît comme une attitude de vie intériorisée, silencieuse et discrète qui semble, jusqu’à l’obsession, tourner le dos à tout ce qui est trace ou empreinte. Une pensée de l’invisible où le mot Vie, comme souffle, prend tout son sens.
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