La passion selon le peintre Luca Signorelli
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Luca Signorelli, peintre italien (1445-1523), fut un élève de Piero della Francesca. Bruno Streiff s'est inspiré d'un épisode de la biographie de l'artiste, la mort accidentelle de son fils à l'âge adulte, pour bâtir un roman philosophique qui propose un certain nombre de réflexions sur la création artistique, le devoir et le pouvoir de la représentation artistique dans le contexte de la Renaissance.
Voici le vieux peintre amoureux des femmes, amoureux de la peinture qui, pendant la veillée funèbre, prend le temps de peindre la dépouille mortelle de son fils. Comment représenter le corps à l'état de cadavre dans la peinture religieuse de l'époque ? Telle est l'une des problématiques du créateur. Mais le roman développe également la relation entre le père et le fils, une relation négligée au départ qui prend forme lorsque le père découvre la vocation de peintre chez son fils. La création est une mise en lumière du réel. C'est en découvrant les tableaux de son fils que le père découvre la fiancée de celui-ci qui servait de modèle au jeune peintre. La fiction met en scène des liens affectifs, émotionnels, qui traduisent la liberté de l'artiste de la Renaissance italienne, et au-delà, la liberté de tout artiste.
Publication
01 sept. 2020
Éditeur
Complicites Eds
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